En face, le Toro revendique quant à lui avec fierté un esprit « plus turinois et piémontais », ainsi que plus prolétaire et populaire[297], dans une ville un peu plus acquise à la cause du Torino, la Juve, elle, étant plus soutenue dans le reste du pays qui entretient aussi une certaine défiance à son égard[298]. ». Lors de la 6e journée des phases de poule de la Ligue des champions 2003-2004 jouée le 10 décembre 2003, la Juventus inscrit un nouveau record avec la plus large victoire de la compétition depuis l'instauration de la Ligue des champions, avec un succès 7-0 à domicile contre les grecs de l'Olympiakos[111], match au cours duquel David Trezeguet inscrivit par la même occasion le 3000e but de l'histoire du tournoi[112]. Plusieurs joueurs de la Juventus (officiellement 6 mais officieusement 7 si l'on compte Fabio Cannavaro en 2006[note 47]) ont obtenu le Ballon d'or lorsqu'ils évoluaient au club. La Juventus détient ainsi le record du nombre de victoires en championnat italien. Le mot « dame », quant à lui, vient du fait de la grande affection que portaient les fans envers leur club dès les années 1920. Avec la saison 2011-2012, la Juventus entame un cycle de 8 Scudetti consécutifs. Alfred Dick est stoppé à temps dans ses démarches et est contraint de démissionner de son poste mais reste à Turin en fondant son propre club, le Foot-Ball Club Torino[27] (l'intense rivalité des deux clubs pour la suprématie sur la ville de Turin existe dès cette date et le premier match entre les deux équipes) créé le 3 décembre 1906. Ce dernier, terminant sa grande carrière en Italie sur un dernier doublé national, quitte le Piémont pour le Paris SG. Jusqu'au début des années 2010, le troisième maillot reprend les graphismes de la tenue extérieure de la saison précédente. Chissà di chi parla Eros Ramazzotti: "Alcuni giocatori stranieri della Juve passavano le notti nei locali a Milano". Au sortir du conflit (période durant laquelle de très nombreux joueurs de la société juventina durent partir au front en tant que soldats ou gradés, et en ressortirent parfois décorés, ou parfois tués, comme l’attaquant Benigno Dalmazzo, le milieu de terrain Gino Goggio[34] ou encore deux des fondateurs du club Luigi Forlano et Enrico Canfari, lui qui avait rédigé la première histoire du club, Storia del Foot-Ball Club Juventus di Torino, sortie en 1915, quelques mois avant sa mort[35]), c'est Corrado Corradini qui prend les rênes du club, période durant laquelle on note une légère amélioration des résultats du club en championnat. En octobre 1907, la FIGC interdit aux joueurs étrangers de participer au championnat. À la fin du XIXe siècle, à une époque où le sport se développe d'une façon considérable dans toute l'Italie et particulièrement à Turin, on note le développement du football, arrivé de Grande-Bretagne, mais également du cyclisme, pratiqués à la patinoire du Parco del Valentino puis au Campo Piazza d'Armi (premiers terrains de la future Juventus) par des étrangers et étudiants, nombreux dans la ville. La Juventus remporte le match 2 buts à 0 (doublé d'Ernesto Borel), premier d'une longue série, et entame par la même occasion le début d'une longue rivalité entre les deux clubs nord-italiens, aujourd'hui appelé le Derby d'Italie[note 9]. La saison suivante, l'effectif termine à la 4e place de la Serie A 1958-1959, mais participe pour la première fois à la C1 (Coupe des clubs champions européens 1958-1959), voyant la Juventus être éliminée dès les 16e-de-finale par le Wiener Sport-Club[note 29] (À la suite de ce revers, combiné à un autre à la dernière minute de la rencontre en championnat, un 5-4 à domicile contre le Milan[72], le tout sur un fond de mésentente avec Omar Sívori, le serbe Ljubiša Broćić fut limogé puis remplacé par son assistant Teobaldo Depetrini [73],[74]). Le père d'un des joueurs leur avait confectionné ces premiers jeux de maillots, perdant par la suite petit à petit leur couleur d'origine, constamment délavés après chaque lavage. De 1994-95 à 1997-98, le second maillot fut bleu avec une grande étoile placée en haut des épaules (presque toujours bleue entourée en jaune, sauf en 1995-96 où l'étoile était jaune entourée de banc). », — Guido Luguori et Antonio Smargiasse, Calcio e Neocalcio: Geopolitica e prospettive del football in Italia, 2003. Le maillot du club irlandais des Wexford Youths Football Club tient également ses couleurs en hommage à celles de la Juve, le président du club, Mick Wallace, étant un fervent supporter de la Vieille Dame[326]. Aussi quatre jours après son succès continental et l'affirmation internationale des clubs italiens en Europe[101], les juventini remportent un scudetto spectaculaire et mémorable (qualifié par la presse d'enthousiasmant et d'inoubliable[102]) avec 51 points (un record pour la Serie A à 16 clubs), soit un de plus que leur rivaux du Torino. En plus de l'attaquant Amauri, du défenseur Mellberg et du rugueux milieu de terrain Poulsen, la Juve compte également faire confiance à ses jeunes joueurs et plus particulièrement Marchisio, Giovinco, ou encore De Ceglie. Lors de cette même saison 2005-2006, la Juve inscrit un nouveau record en Serie A en remportant ses neuf premiers matchs d'ouverture[112]. — Elio Domeniconi, Guerin Sportivo, mai 1977[100]. La saison 1976-1977 marque une nouvelle ère dans l'histoire du club, avec l'intronisation sur le banc du jeune et ex-entraîneur du Milan Giovanni Trapattoni, inexpérimenté mais très apprecié de Boniperti. Le plus jeune joueur à avoir évolué sous les couleurs bianconere est l'attaquant Pietro Pastore à l'âge de 15 ans et 222 jours, tandis que le joueur le plus vieux à avoir porté les couleurs du club est le gardien de but Giuseppe Romano (jouant son dernier match à 38 ans et 138 jours). Au bout d'une année, il passe la présidence à son frère cadet Enrico[22]. Ce triumvirat (qui crée un hymne et un journal du club, dans le but de maintenir un lien avec les sympathisants de l'équipe) est appelé le comité présidentiel de guerre. Ce titre marque une page de l'histoire de l'équipe, dès lors surnommée la « Juve Operaia »[86],[87] (la Juve travailleuse en français). Cette nouvelle paire offensive, ajoutée à l'expérience du capitaine juventino Giampiero Boniperti (repositionné par Broćić dans un nouveau rôle de milieu offensif, pour lui permettre de mettre pleinement à profit sa vision du jeu et ses qualités techniques), formèrent dès lors un des plus célèbres et efficaces trios offensifs de l'histoire du football, appelé le « Trio magique »[66] (en italien : Trio Magico), également appelé le Trio Boniperti-Charles-Sívori. 21 entraîneurs de la Juventus sont également d'anciens joueurs du club, comme tout d'abord les cinq entraîneurs-joueurs, ajoutés à Carlo Bigatto (joueur de 1913 à 1931 puis entraîneur en 1935), Benè Gola (joueur en 1927-1928 puis entraîneur en 1935), Umberto Caligaris (joueur de 1928 à 1935 puis entraîneur en 1939-1940), Federico Munerati (joueur de 1922 à 1933 puis entraîneur en 1940-1941), Luis Monti (joueur de 1931 à 1939 puis entraîneur en 1941-1942), Renato Cesarini (joueur de 1929 à 1935 puis entraîneur de 1946 à 1948 et de 1959 à 1961), Luigi Bertolini (joueur de 1931 à 1937 puis entraîneur en 1951), Teobaldo Depetrini (joueur de 1933 à 1949 puis entraîneur en 1958-1959), Carlo Parola (joueur de 1939 à 1954 puis entraîneur en 1961-1962 et de 1974 à 1976), Július Korostelev (joueur en 1946-1947 puis entraîneur en 1961), Ercole Rabitti (joueur de 1939 à 1943 puis entraîneur en 1969-1970), Čestmír Vycpálek (joueur en 1946-1947 puis entraîneur de 1971 à 1974), Dino Zoff (joueur de 1972 à 1983 puis entraîneur de 1988 à 1990), Fabio Capello (joueur de 1969 à 1976 puis entraîneur de 2004 à 2006), Didier Deschamps (joueur de 1994 à 1999 puis entraîneur en 2006-2007), Ciro Ferrara (joueur de 1994 à 2005 puis entraîneur en 2009-2010), et enfin Antonio Conte (joueur de 1991 à 2004 puis entraîneur de 2011 à 2014). C’est notre capitaine et on a encore confiance en lui", confiait-il il y a quinze jours. Le club a établi en 2010 une liste des 50 joueurs les plus importants ayant marqués l'histoire du club, élus par les membres du fan club reconnu par le club et le programme Juventus Membership sur la base des statistiques (les matchs joués et les buts marqués) et les trophées au cours de leur période à la Juventus (tant avec le club qu'en équipe nationale). Finissant 2e du championnat malgré des victoires en cours de saison contre l'AS Roma et l'AC Milan, elle prépare la suite en remplaçant Ranieri par Ciro Ferrara sous la pression des tifosi juventini. Les anciens sont restés et une grande équipe est alors construite, capable de battre l'Inter de Milan, l'AC Milan ou l'AS Roma. On surnomme également l'équipe i Bianconeri (les blancs et noirs), ou encore le Zebre (les zèbres[note 53]) en référence aux couleurs de la Juventus, ou encore i Gobbi (les bossus), à cause des dos bossus des « vieilles dames ». Il existe également une rivalité avec un autre grand d'Italie, le Milan AC[296],[306], les deux équipes se montrant très tôt compétitives, et ce dès leur création. Lors de la 30e journée, le numéro 19 rossonero marque face à son ancien club. Les années suivantes sont difficiles (changeant deux fois de présidents avec Attilio Ubertalli en 1911[33] et Giuseppe Hess en 1913[note 10]), le club ne parvenant plus à s'imposer dans le paysage footballistique italien, voire régional (terminant régulièrement en fin ou au milieu de classement). La Juventus a été le premier club (et reste l'unique) au monde à avoir remporté toutes les compétitions confédérales et interconfédérales[15], et devient en 1985 la première équipe dans l'histoire du football européen à remporter les trois compétitions majeures organisées par l'Union des associations européennes de football, recevant ainsi la Plaque UEFA[13],[105]. À l'origine, elle évolue tout d'abord avec un maillot rose à cravate noire et un pantalon noir. Dans ce nouveau siège, l'entrepreneur turinois et ex-joueur bianconero Piero Dusio, alors président de l'association, entreprit d'améliorer la gestion interne de la société, en impulsant la construction de terrains appropriés pour le développement des activités sportives de l'O.S.A. Cette saison est également une réussite pour John Charles, affectueusement surnommé le « Bon Géant » (en italien : Il Gigante Buono, pour ses nombreux gestes de fair-play[70]), qui termine capocannoniere du championnat avec 28 buts (5e joueur juventino à réaliser cette performance), est élu joueur de l'année en Italie, et qui termine à la 6e place avec 4 votes du classement final du Ballon d'or 1957[71] (également le premier joueur juventino de l'histoire à figurer dans le classement final du Ballon d'or). L'échec n'en sera que plus gros. La saison suivante, la Dame sort de son centre de formation Felice Borel, alors âgé de 18 ans, qui deviendra par la suite un des meilleurs joueurs de l'histoire du club. Selon un sondage Doxa publié dans le magazine L'Espresso en avril 2002, la Vieille Dame est l'équipe italienne la plus supportée en Italie : elle compterait environ 11 040 000 supporters, soit 31 % du total. À Turin, lorsque fut ouvert le gros paquet postal, les quinze maillots à bandes verticales blanches et noires avec un col blanc ne plurent pas au départ, mais, avec le début du championnat approchant, il n'y eut pas d'autres alternatives pour les juventini, et durent donc les porter avec des pantalons et chausettes de couleur noire, avec parfois des lacets à la hauteur du col. Ce maillot dont on disait qu'il « portait bonheur » fut alors l'officiel de l'équipe turinoise[227], avant de devenir un des plus célèbres au monde: « [La] Juve porta les maillots [bianconeri] depuis lors, étant donné les couleurs agressives et fortes. La Juventus remporte le championnat d'Italie et la Coupe d'Italie. La formation juventina qui remporta son premier scudetto en 1905, deux ans après l'abandon du maillot rose, portait sur la poitrine huit bandes qui changèrent successivement: avec un minimum de sept et un maximum de neufs comme durant les formations du mythique Quinquennio d'oro (de 1930-31-1934-35). En l'espace de cinq ans, ils vont s'imposer comme le meilleur club européen. ». C'est une société par actions (d'où le sigle italien S.p.A.). C'est donc alors que le défenseur turinois (et l'un des créateurs du club) Carlo Vittorio Varetti prend le contrôle du club et y reste jusqu'en 1910. Malgré une finale atteinte lors du Trophée Sir Thomas Lipton au printemps 1911[note 11], c'est d'ailleurs pendant la saison 1912 que le FBC Juventus enregistre les plus lourdes défaites de son histoire (un 8-1 à l'extérieur contre le Milan Football and Cricket Club le 14 janvier, et un 8-0 à domicile contre le FBC Torino le 16 novembre[note 12]). La semaine dernière, c'est le joueur de l'AS Rome Bryan Cristante qui a été suspendu un match pour blasphème après avoir marqué contre son camp. Mais gagné. Dernière mise à jour 31/12/2020 . L'industriel Edoardo Agnelli de la famille Agnelli (riche famille aristocratique piémontaise créatrice et propriétaire de la Fiat[41]) rachète le club le 24 juillet 1923[42], époque du dernier président de l'avant-Agnelli Gino Olivetti. eternerem le tradizioni Une page se tourne avec le départ de son capitaine mais, durant l'été, les dirigeants de la Juventus parviendront à chiper au Real Madrid, l'immense star et quintuple Ballon d'or, Cristiano Ronaldo pour environ 105 millions d'euros dans ce que les médias italiens ont appelés "l'affaire du siècle". Pour la première confrontation européenne de l'histoire du club, la Juve rencontre en quarts-de-finale un des meilleurs clubs européens de l'époque, les tchécoslovaques du Slavia Prague, et ce furent ces derniers qui remportèrent le match 3-1 (1-0[note 18] à l'aller puis 3-0 au retour). La Vieille Dame fut la première à arborer sur son maillot une seule étoile d'or cousue sur le maillot en 1958 (une étoile d'or équivaut à 10 championnats nationaux remportés), la première à en mettre une seconde en 1982, puis une troisième en 2012 (provoquant une controverse à cause des deux titres retirés). « Dans la capitale de la Biscaye, la Juventus représentait l'Italie, aussi en tribune de presse nous nous sentions tous bianconeri. Échauffourées entre supporters des deux clubs lors desquelles on compta 39 morts et près de 600 blessés. Le tableau suivant retrace la chronologie des entraîneurs du club. La silhouette blanche d'un taureau cabré[note 54] se trouve dans la partie basse, superposé sur un bouclier noir de type écu français, au-dessus duquel se tient une couronne noire. En juin 1968, trois juventini prennent part à l'Euro avec la Squadra Azzurra (qui elle y participe pour la première fois et le remporte), Giancarlo Bercellino, Ernesto Castano, et Sandro Salvadore (qui deviennent finalement les premiers joueurs italiens à remporter le Championnat d'Europe de football, appelé à l'époque la Coupe d'Europe des nations[88]). Le 19 mai 2007, en l'emportant sur le terrain de l'Arezzo (5 à 1), la Juventus remontera en Serie A et terminera championne de Serie B un an après les révélations qui déclenchèrent le scandale du Calciopoli. Les numéros deviennent blancs et inscrits dans un carré noir au dos, le tout avec short blanc et chausettes blanches, où leur fut ajoutées deux bandes noires) arrivent durant la période « trapattonienne », où les maillots deviennent plus cintrés avec des numéros blancs sur fond noir, et où le maillot voit apparaître pour la première fois en 1979 le nom de l'équipementier. L'actuel siège se trouve depuis janvier 2001 au C.so Galileo Ferraris, 32. C'est également dans cette période que seront créés deux groupes d'ultras extrêmes : les Viking et le Nucleo Armato Bianconero (N.A.B.)[290]. En 2004-05 apparaît un col opale sur un maillot à sept bandes, qui passe ensuite à neuf l'année suivante (où une petite bande tricolore apparaît sur le dos du col), puis à onze en 2006-07. Le tableau suivant retrace la chronologie des présidents du club. Ciotti écrivit le livre. Un tournant marqua l'histoire du club pour toujours durant le début de l'entre-deux-guerres. En une saison, le défenseur alterne parfois le bon, souvent le moins bon et ne parvient pas à repondre aux attentes. C'est au cours de cette saison que le Trio magique termine l'année avec un second titre en deux ans, la Coupe d'Italie en battant l'Inter 4-1 en finale (la Juve devenant par la même occasion l'équipe la plus titrée du pays en coupe, dépassant avec ses 3 coupes d'Italie les deux coupes du Torino). ». « […] Parce que la Juventus, après déjà un siècle d'histoire, est devenue une légende. La saison suivante sonne comme celle de la révolution pour la Juventus qui termine finalement sur le podium, remplaçant tout d'abord HH2 (et son système à bout de souffle du movimiento ne portant plus ses fruits) par l'argentin Luis Carniglia (lui-même remplacé durant la saison par Ercole Rabitti), avant d'accueillir en son sein de futurs grands joueurs bianconeri comme les défenseurs Francesco Morini et Antonello Cuccureddu (acheté pour la somme de 400 millions de lires), mais surtout l'un des plus grands milieux défensifs de l'histoire, Giuseppe Furino. Voici donc une liste de joueurs formés durant leur jeunesse par la Juventus: Plus récemment, les secteurs jeunes de la Juventus ont sorti de leur vivier des joueurs pro comme Raffaele Palladino, Antonio Nocerino, Sebastian Giovinco, Claudio Marchisio[185], Paolo De Ceglie[186], Antonio Mirante, Matteo Paro, Domenico Criscito[187], ou encore Ciro Immobile[188]. Durant ces années, le maillot subit une retouche: un col « V » qui remplace désormais le col Danton. Ils rendront ses titres de noblesse à la Juventus, notamment en remportant le Scudetto en 1995 et la Ligue des champions en 1996 avec les cadres Gianluca Vialli, Roberto Baggio, Ciro Ferrara ou encore le jeune Alessandro Del Piero. Désirant jouer au football, les villes italiennes et leurs clubs veulent tout de même un tournoi, et c'est ainsi que nait l'idée d'une compétition non officielle, appelée la Coppa Federale (en français la Coupe fédérale). La Juventus a remporté la version australienne de l'International Champions Cup en 2016. Les années 1950 voient débarquer au club une colonie de joueurs scandinaves (à l'instar du Milan avec son « Gre-No-Li »), dont certains restèrent célèbres comme les danois John Hansen (au club de 1948 à 1954) et Karl Aage Præst (au club de 1949 à 1956), le premier Suédois du club, la vedette internationale Kurt Hamrin, arrivant lui au cours de la saison 1956-1957. Durant le mercato estival, la Juventus montre son envie d'être compétitive : elle est très active sur le marché des transferts et renforce son effectif en vue de la Ligue des Champions. Après avoir terminé deuxième de la phase de poule derrière Barcelone dans le groupe D, les italiens héritent de Tottenham en huitième de finale. Le 26 novembre 1996, la Juve a remporté sa deuxième Coupe intercontinentale, reconnu avec document officiel da la FIFA comme équivalent de la Coupe du monde des clubs[103],[104]. Farsopoli o Calciopoli. Le derby entre les deux clubs est appelé le derby della Mole (en référence à la Mole Antonelliana, monument en maçonnerie de 167,5 m qui symbolise la ville de Turin), ou également le derby de Turin (en italien : Derby di Torino). Durant plusieurs années, l'après-Alfred Dick est dur à digérer pour la Juve (malgré un maigre trophée amical, la Coppa Luserna San Giovanni en 1907), diminuée financièrement et amputée de certains de ses cadres, partis rejoindre le nouveau club de leur ancien président au FCB Torino (comme les titulaires Diment, Bollinger, Mazzia ou encore Squair). Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la ville de Turin, le club est le deuxième en termes de supporters après le Torino Football Club considéré au départ comme moins élitiste et plus populaire. Italian national team records & statistics, The Record Sport Soccer Statistics Foundation, Durant l'activité sportive de la Juventus O.S.A., la section de football remporta à six occasions le, Championnat d'Italie de football 2020-2021, International Federation of Football History & Statistics, meilleur club italien et le deuxième meilleur club européen, Union des associations européennes de football, Coupe des clubs champions européens 1958-1959, Palmarès et distinctions de la Juventus Football Club, Fédération internationale de football association, Historique du parcours européen de la Juventus, Manifatture Bosco – Compagnia Industriale Sportiva Italia, Juventus : Andrea Agnelli nouveau président, Juworld.net — STAGIONE 1899-1900 PARTITE AMICHEVOLI E TORNEI MINORI, Storia del Campionato di Calcio: 1934-1935. Sous le fascisme désirant une centralisation du pays, la Juventus devint un des nombreux symboles de cette dualité entre la capitale et la province, cette dernière gardant un certain niveau d'admiration pour la squadra bianconera dans quelques provinces du nord, mais surtout dans les régions lointaines de Turin, dans le sud du pays. En effet, à Turin même, la population soutient davantage l'autre club, le Torino FC, vu comme le club prolétaire populaire et représentatif du Piémont, la Juventus étant davantage liée à la bourgeoisie industrielle (famille Agnelli du groupe FIAT propriétaire du club depuis plus de 80 ans et dont le holding IFI détient majoritairement le capital). Ces dernière années, Leonardo Bonucci a toujours excellé dans les mêmes registres : premières relances, lecture des trajectoires et intelligence dans le placement. Ainsi, le 18 mars 1906 lors d'un match joué à domicile contre le Genoa, la rencontre finit par être interrompue (les piémontais menant alors 1-0) à la suite d'une invasion du terrain par les supporters turinois menant ensuite à une bagarre (ce qui devient la première invasion de terrain de l'histoire du calcio)[250]. », — Giovanni Agnelli, Grande Storia della Juventus, 2007. Le Ballon d'or 1958 voit lui pour la première fois de l'histoire du club plusieurs joueurs bianconeri finir dans le classement final[75], John Charles (qui figure au classement pour la seconde année consécutive) terminant à la 4e place, Bruno Nicolè et Giampiero Boniperti finissant eux respectivement aux 19e et 25e place. Au niveau international, les bianconeri ont remporté leur premier titre international en 1977 (Coupe UEFA, premier club italien à la décrocher [12]. Il tifoso Walter Veltroni disegna la "sua" Juventus. Après deux demi-finales respectives (en coupe et en C3), la Goebba s'adjuge au mois de mai son 16e titre de champion national 1974-1975. À la mi-saison, le Napoli vire en tête avec un point d'avance sur la Juve. Un des éléments clés de Manchester City, Ryad Mahrez ne bénéficie pourtant pas de la confiance totale de Pep Guardiola. Cette affaire fut alors surnommée l'Affaire Allemandi[46]. Morata quitte également le club, racheté par le Real Madrid. Le Suisse a égalisé pour l’Atalanta (1-1) sur le terrain des Turinois. "C'est un desastre", écrivait le Messaggero, parlant du "pire" Bonucci de la Juve toutes saisons confondues. Il vit le maillot rose coloré, avant de penser qu'il serait mieux en blanc et noir. Le premier match officiel entre les deux formations turinoises eut lieu le dimanche 13 janvier 1907 (seulement un an après la création du Torino) lors d'un match de championnat disputé au Stadio Motovelodromo Umberto I, match qui se solda par une victoire du Toro par 2 buts à 1 (c'est d'ailleurs durant un derby turinois que la Juve enregistra la plus lourde défaite de son histoire, un 8-0 à domicile le 16 novembre 1911).

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